Contrairement aux souhaits de certains observateurs de voir les autorités sanitaires mettre en quarantaine Gouécké où la fièvre hémorragique à virus Ebola est réapparue, le chef de l’Agence nationale de sécurité sanitaire, ANSS, Dr Sakoba Kéïta ne partage cet avis.
Ce dernier écarte toute l’idée de confiner le village de Gouecké, situé à 45 Km de la capitale de la Guinée Forestière/N’Zérékoré. ‘’Prendre des décisions maximalistes, c’est purement émotionnel’’, a-t-il bouté en touche lors d’une conférence de presse récemment.
L’épidémiologiste estime qu’après plus de deux semaines de la réapparition du premier cas, qu’il n’est pas opportun de confiner Gouécké. « Comment retrouver toutes les personnes qui ont fréquentées Gouécké du 28 janvier au 14 février ? Il faut aller investiguer pour demander aux gens pour que les gens s’identifient. Quoi qu’on fasse , on ne pourra pas avoir toutes les personnes qui ont pris part à l’enterrement. Mais essayons de les identifier au maximum et être vigilant sur des gens qui développeront la maladie », a indiqué le médecin.
Il a par ailleurs fait savoir que certains observateurs l’ont dit de bloquer les entrées de ladite localité : « Tu peux bloquer une localité, c’est lorsque tu es au courant dès le premier cas. Depuis le 28 janvier et aujourd’hui, ça fait combien de jours ? Si on devait bloquer, ça devait être le premier jour et comme ça, nous avons plus de chance de contenir les gens », a précisé Dr Sakoba Kéïta.
Tamoné pour Billetdujour.com
Ce dernier écarte toute l’idée de confiner le village de Gouecké, situé à 45 Km de la capitale de la Guinée Forestière/N’Zérékoré. ‘’Prendre des décisions maximalistes, c’est purement émotionnel’’, a-t-il bouté en touche lors d’une conférence de presse récemment.
L’épidémiologiste estime qu’après plus de deux semaines de la réapparition du premier cas, qu’il n’est pas opportun de confiner Gouécké. « Comment retrouver toutes les personnes qui ont fréquentées Gouécké du 28 janvier au 14 février ? Il faut aller investiguer pour demander aux gens pour que les gens s’identifient. Quoi qu’on fasse , on ne pourra pas avoir toutes les personnes qui ont pris part à l’enterrement. Mais essayons de les identifier au maximum et être vigilant sur des gens qui développeront la maladie », a indiqué le médecin.
Il a par ailleurs fait savoir que certains observateurs l’ont dit de bloquer les entrées de ladite localité : « Tu peux bloquer une localité, c’est lorsque tu es au courant dès le premier cas. Depuis le 28 janvier et aujourd’hui, ça fait combien de jours ? Si on devait bloquer, ça devait être le premier jour et comme ça, nous avons plus de chance de contenir les gens », a précisé Dr Sakoba Kéïta.
Tamoné pour Billetdujour.com
