A en croire, le secrétaire général, Aboubacar Sylla dudit site touristique situé dans la commune de Matoto sur la façade maritime de la corniche sud, la plage de Bénarès a commencé à être exploitée vers la fin des années 80.
A ce jour, le site est tenu par une organisation bien structurée, composée dit-on de près de 400 jeunes. Ce sont ces derniers qui assureraient l’assainissement, la surveillance et le monitoring de la nage.
Selon toujours l’opérateur touristique au sein de l’organisation de la plage, il y aurait beaucoup de sortant d’universités. Un regroupement qui les a permis d’empêcher à beaucoup de jeunes, a-t-il déclaré, de prendre la route de la Méditerranée. « Ici, nous gardons ces jeunes, aujourd’hui, on dépasse 400, en plus de ces 400, d’autres sont encore sur les bancs d’écoles. Quand ils vont finir, ceux qui veulent évoluer avec nous, manifesteront le désir, parce que la surveillance et l’assainissement de la plage est rénumeré par mois. Il y a également des particuliers qui viennent faire une journée, ceux-là, ils ont des primes de 50 à 80 mille. »
Pour lui, avec une telle organisation, l’Etat devrait les apporter de l’appui.
Avant de conclure que la plage de Bénarès est en règle vis à vis du Bureau guinéen de droit d’auteurs, BGDA, mais aussi de la direction générale de l’impôt. « Nous avons déjà payé le quota annuel du BGDA. On a aussi payé nos obligations à l’impôt. Et avec la commune, nous sommes en parfaite harmonie », a-t-il assuré.
Richard TAMONÉ pour Billetdujour.com