Les populations de cette partie de la Basse Guinée sont maintenant coupées de la commune urbaine de Dubréka suite au fait que le bac qui sert de traversée a été englouti au fond du fleuve.
Les citoyens empruntent désormais des petites pirogues sur ce grand cours d’eau.
«Les samedis, jour du marché, il y a un monde fou qui monte sur le bac. Ils ne connaissent pas la portée du danger et beaucoup acceptent de traverser avec les pirogues. Donc les gens profitent avec les
pirogues pour aboutir de l’autre côté du fleuve», a souligné le sous-préfet de Falésadé, El hadj Kader Bangoura.
Présentement pour regagner la commune rurale de Falésadé, les usagers sont obligés de contourner en passant par les sous-préfectures de Wassou et de Bady. « Parce qu’avec le courant d’eau qui est très fort, si le câble se coupe, cela peut entrainer le bac. Donc s’il y a de gros camions qui viennent, ils sont obligés de faire le contour pour venir à Falésadé », a ajouté le sous-préfet de Falésadé.
Pour rappel, 59 kilomètres séparent le centre ville de la commune urbaine de Dubréka à la sous-préfecture de Falésadé. Le bac qui est englouti a été mis en service par les autorités du premier régime en 1960.
Nicaise Tolgotch pour Billetdujour.com
«Les samedis, jour du marché, il y a un monde fou qui monte sur le bac. Ils ne connaissent pas la portée du danger et beaucoup acceptent de traverser avec les pirogues. Donc les gens profitent avec les
pirogues pour aboutir de l’autre côté du fleuve», a souligné le sous-préfet de Falésadé, El hadj Kader Bangoura.
Présentement pour regagner la commune rurale de Falésadé, les usagers sont obligés de contourner en passant par les sous-préfectures de Wassou et de Bady. « Parce qu’avec le courant d’eau qui est très fort, si le câble se coupe, cela peut entrainer le bac. Donc s’il y a de gros camions qui viennent, ils sont obligés de faire le contour pour venir à Falésadé », a ajouté le sous-préfet de Falésadé.
Pour rappel, 59 kilomètres séparent le centre ville de la commune urbaine de Dubréka à la sous-préfecture de Falésadé. Le bac qui est englouti a été mis en service par les autorités du premier régime en 1960.
Nicaise Tolgotch pour Billetdujour.com