Les faits parlent plus que les mots. Il faut être de passage ou se rendre à la morgue pour toucher du doigt cette triste réalité. Déjà, en plus de l’odeur nauséabonde, trouver un coin pour garer son véhicule est devenu un véritable casse-tête.
Ce sont des chariots et des cabines d’ordures qui occupent la devanture, avec des jeunes qui fument sans gêne. Tout l’espace, de l’hôtel Noom au débarcadère de Sandervalia, est aujourd’hui envahi, compliquant le passage et le stationnement des véhicules au niveau de cette maison mortuaire.
Vivement l’intervention des autorités du quartier Sandervalier, de la mairie de  Kaloum, voire du gouvernorat de Conakry, pour que cette zone soit enfin libérée de ces encombrants.
Mouctar Junior Diallo