Manifestement, la disparition des citoyens en Guinée et surtout des deux activistes du Front national pour la défense de la Constitution, (FNDC), dissout par les autorités de la transition créé de problèmes au lieu qu’elle en résout. C’est le moins qu’on puisse dire ou écrire. Au jour, le jour des Institutions nationales et internationales et non des moindres se prononcent sur ces cas de disparition en République de Guinée.
La dernière en date, est la sorte notamment du Représentant pays du Haut commissariat des droits de l’homme des Nations Unies en Guinée, des Forces sociales de Guinée, puis du représentant du gouvernement américain auprès des autorités de la transition.
Pour la énième fois, le défenseur des droits de l’homme, fondateur de Afrikajom center, Alioune Tine a encore une fois réagi sur son mur X:
« Il n’est plus tolérable, plus acceptable que sur le continent que des êtres humains soient victimes de disparition forcée. Aucun État africain ne devrait l’accepter, aucune institution africaine ne devrait l’accepter, aucun citoyen africain ne devrait l’accepter », a fait remarquer Alioune Tine.
Le fondateur de Afrikajom center de conclure: « États, Institutions et citoyens du continent exigeons que toute la lumière soit faite immédiatement sur la disparition de Foniké Mengue et Billo Bah. Le respect de la vie, de la dignité et des libertés des citoyens et citoyennes du continent africain c’est notre affaire à tous: États, institutions et citoyens. Il est tant pour les autorités guinéennes d’édifier l’opinion africaine et mondiale sur la situation de Foniké et de Billo Bah. Une urgence mondiale signalée.
Source: @aliounetine16