D’aucuns auront du mal à choisir un camp, par le simple fait, des actes posés par certains acteurs de ces deux entités qui contribuent n’ont pas à construire une nation et derrière la République, mais à la démonter ou non à la démolir brique par brique. 
D’autres, par contre, qui ont encore une once d’espérance à cette nation guinéenne pensent qu’il y a encore des vieux, vieilles personnes, oui vieux-sages, qui gardent et très jaloux des valeurs morales, qu’ils ont construit des années durant et pour ne rien au monde, ils folleront au sol leur dignité. Le faire serait un sacrilège.
Contrairement, à ceux qui se disent  représenter une communauté, alors qu’au vrai sens du terme, ils sont de loin et très loin d’ailleurs d’incarner les valeurs d’une société africaine.
Quant à la jeunesse, elle, est devenue l’entonnoir ou tout au moins la passoire de la perversité, des travers sociaux pour parler simple. C’est telle la vache laitière de tout ce qui veulent assouvir leurs desseins immoraux. Pas surpris de les voir percher sur les véhicules, scandant les slogans de celui-là qui les a monnayé.
Dans cette jeunesse-là aussi, bien qu’une grande majorité reste très mercantile où l’on cultive une vie oisive. Une minorité, oui, existe et très entreprenante, mais manque de coup de pousse pour éclore, au bénéfice de la société. Elle est très préoccupée de la tournure du manque de visibilité aujourd’hui, savamment entretenue par ceux-là qui sont censés redresser le gouvernail pour le salut de la nation.
Il est donc primordial que chacun fasse son travail, afin de faire la part des choses. Que les vieux-sages jouent leur rôle de veille et aient l’audace de prendre parole pour orienter et gouvernants et gouvernés pour le salut de toute la nation et de la République.
A-Tchol pour Billetdujour.com