Si faut-il croire à sa version des faits au micro des services de communication  de la défense nationale. Le colonel Claude Pivi vient de prouver à l’opinion qu’en dépit qu’il soit affaibli par la maladie. L’élément du Bataillon autonome des troupes aéroportées (BATA) a dû prendre la poudre d’escampette de la plus belle des manières, jusqu’aller se réfugier de l’autre bout de la République de Guinée, en Guinée Forestière. Que prouesse de quelqu’un dont l’armée guinéenne toute entière, on va dire était aux trousses. Sa tête mise à prix et donc la contribution de la population demandée également . Mais rien n’y fait, Pivi a pu se sauver.
Au-delà du retour à la maison d’arrêt du grand fugitif Pivi. Aux dires de bon nombre d’observateurs des questions sur la sécurité et la défense nationale doivent interpeller les autorités du pays au moment où le djhadismes (terroristes) bat son plein. Il faudrait donc remercier de passage la police nationale de la République du Libéria. Il faut le souligner n’eût été cette dernière, le condamné des évènements du massacre du stade du 28 septembre de 2009 serait encore dans la nature au grand dam des victimes de 2009.
Claude l’a bien déclaré que c’est: Dès après l’évasion à Conakry et donc à la sureté, le même jour qu’il a continué. « Ils m’ont fait accompagner par trois des gens qui sont venus derrière à la sureté. Donc, ils m’ont balancé directement pour aller en forêt. Je suis parti en forêt, arrivé chez moi, dans mon village, j’ai fait trois jours. Le quatrième jour, j’ai traversé pour aller au Libéria », d’emblée laissé entendre, le colonel Claude Pivi, alias grand Coplan.
A-Tchol pour Billetdujour.com