Ce jeudi 17 octobre 2024, l’humanité a célébré la Journée mondiale de la lutte contre la faim et donc contre la pauvreté. Mais de vous à nous, le monde voudrait-il vraiment lutter contre la pauvreté?
Beaucoup estiment que les sommets et autres organisés par-ci et par-là par des dirigeants qu’ils soient du Sud ou du Nord, n’est simplement qu’un leurre. Ces derniers s’interrogent de leurs sincérités de pouvoir vraiment résoudre les maux qui minent des milliards d’individus à travers le monde.
Pour la simple raison que les dirigeants, surtout ceux du Nord, y compris ceux qui dirigent les institutions monétaires, notamment de Bretton Woods: Banque mondiale, Fond monétaire international, ce sont eux-mêmes qui entretiennent la pauvreté afin de pouvoir tenir la corde sur le cou des dirigeants des pays en voie de développement. Ainsi, lorsqu’ils leurs disent de monter, ces derniers n’auront aucune autre choix que de monter.
Un béni-oui-oui, devenu un fléau dans les pays en voie de développement. Parfois, il n’est pas étonnant que des dirigeants des pays du Sud, acceptent de la part des nations dites avancées certaines propositions, même au péril de leurs régimes ou de la société. Nombre de gouvernements des pays du Sud ont ainsi adhéré aux mesures d’ajustement structurel instruites par les institutions de Bretton Woods dans les années « 90 », initiative décriée par moults observateurs.
Présentement, ce sont l’affaire de LGBT
(Personne qui est homosexuelle, bisexuelle, transgenre) que les dirigeants occidentaux tentent imposer désormais à leurs homologues des pays en voie de développement afin de pouvoir bénéficier de l’appui.
Ces quelques exemples, sont parmi tant d’autres qui participent à agenouiller des milliards d’individus à travers le monde. Sinon, pourquoi débloquer de centaines de milliards pour rien que soutenir les guerres. Engloutir des centaines encore de milliards dans l’armement, des projets de l’espace. Pendant ce temps, de millions d’êtres humains meurent de fin, au vu et au su des dirigeants. Dans cas, d’espèce, ce sont des infimes sommes qui sont débloqués afin de venir en aide aux populations dans le besoin accru.
L’organisation de la Journée mondiale de la précarité n’est qu’une façon de faire croire aux personnes démunies qu’ils se soucient de leur niveau social misérable, alors qu’en réalité c’est du tape à l’œil.
A-Tchol pour Billetdujour.com