Candidat à sa réélection à la tête de la CAF, le Sud-Africain Patrice Motsepe a brillé par son absence au cours de son premier mandat.
Pourtant, il a très vite imprimé sa marque sur l’organisation, s’imposant comme un VRP du football* auprès des présidents africains et des plus grands chefs d’entreprise du continent. Et ne s’occupant que très peu de l’opérationnel, laissé à Véron Mosengo-Omba, le secrétaire général.
Et aujourd’hui, les langues se délient sur ses méthodes, le décrivant comme un président distant. En tout cas, sa méthode diffère de l’hypergestion affichée par ses prédécesseurs, tels le Camerounais Issa Hayatou.
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