Ce qui se passe dans la zone de Conakry et certaines villes de l’intérieur du pays , sont des faits inédits soutiennent un bon nombre de Guinéens.

Des dégâts matériels importants(  des voitures, maisons caillaissées, brulées, …) , des blessés pis des nombreux cas de morts. Voilà l’image que présente  dans l’ensemble la Guinée après le scrutin du 18 octobre.
Bloqués chez eux par la peur , les violences  policières, de gendarmes voire militaires , les marchés oû les femmes s’approvisionnent en condiments  complètement  occupés aussi par des policiers.
Sur la route Le Prince , de Hamdallaye à Kagbelen et  certains quartiers dans la commune de Matoto( Dar-es-salam 1, Gbessia, …) , présentent le visage  d’un pays qui a connu plusieurs jours de guerre.
En plus, des fumées, des débris , des ordures, des troncs  d’arbre et gros cailloux empêchant toute circulation, … les citoyens  sont privés de tout droit de se mouvoir ou organisation sociale,  c’est la réalité que vivent des Guinéens à Conakry et des villes à l’intérieur du pays.
En dépit de la publication des résultats provisoires déclarant  Alpha Condé élu  dès le premier  tour  , les tensions restent vives.
Aujourd’hui , la question qui reste entre les lèvres est de savoir quand prendront fin ces violences et que les Guinéens reprennent leur quotidien habituel.
Aliou Diaouné pour Billetdujour.com