La journée internationale des femmes ne passe aussi inaperçue chez les élèves et étudiantes Guinéennes. Bien que les manifestations de réjouissance pour commémorer ce 8 Mars sont interdites à cause de la pandémie de Covid-19, elles sont nombreuses parmi les femmes et filles de Guinée de faire l’état de lieu de la situation de la couche féminine avant de prodiguer des conseils à leurs filles, sœurs et amies. C’est le cas de Mademoiselle Oumou Djouldé Diallo, étudiante, athlète et membre de la Fédération guinéenne de Roll Ball.
Interrogée sur ce qu’elle pense du 8 Mars, Mlle Diallo a indiqué qu’elle a compris la signification de cette date historique (8Mars Ndlr) des femmes à travers ses lectures et les médias. « La journée internationale des droits des femmes trouve son origine dans les manifestations de femmes au début du XXe siècle, en Europe et aux Etats-Unis, réclamant des meilleures conditions de travail et de droit de votes. Mais c’est en 1977 que l’Organisation des Nations Unies (ONU) célèbre le 8 Mars comme Journée internationale des femmes », a-t-elle rappelé.
Pour 2021, poursuit l’athlète de Roll ball, ‘’Leadership féminin : Pour un futur égalitaire dans le monde de la Covid-19’’ est le thème choisi.
Parlant de la situation de vie de la Guinéenne, notre étudiante de souligner qu’il y a des avancées mais beaucoup reste à faire. Notamment : la lutte contre les viols, les mariages forcés, les difficultés dans la pratique du sport, l’utilisation de certaines pour les travaux domestiques sans l’oublier l’abandon scolaire, …
Revenant sur ce que l’éducation peut apporter, notre étudiante de soutenir que : « L’éducation et la pratique du sport permettent à la fille d’avoir une assurance de soi, de se départir des préjugés, de sa propre vie, d’améliorer sa qualité de vie, comme on le dit un esprit sain sans un corps sain, de prendre conscience de ses droits et d’être en mesure de les défendre », a expliqué Oumou Djouldé Diallo.
Enfin, la sportive de présenter des doléances : « Je souhaite que dans les prochaines années que le 8 Mars soit une journée de sensibilisation et de mobilisation des élèves des écoles, collèges, lycées et universités pour les droits des femmes et l’égalité entre les filles et les garçons, comattre pour être présente dans tous les sports et s’affirmer. Dans nos familles et autres Groupements aussi , elle ne doit pas se voir comme un être inférieur , elle doit comprendre que le leadership se crée en soi, il faut l’imposer parfois », a-t-elle lancé.
Interrogée sur ce qu’elle pense du 8 Mars, Mlle Diallo a indiqué qu’elle a compris la signification de cette date historique (8Mars Ndlr) des femmes à travers ses lectures et les médias. « La journée internationale des droits des femmes trouve son origine dans les manifestations de femmes au début du XXe siècle, en Europe et aux Etats-Unis, réclamant des meilleures conditions de travail et de droit de votes. Mais c’est en 1977 que l’Organisation des Nations Unies (ONU) célèbre le 8 Mars comme Journée internationale des femmes », a-t-elle rappelé.
Pour 2021, poursuit l’athlète de Roll ball, ‘’Leadership féminin : Pour un futur égalitaire dans le monde de la Covid-19’’ est le thème choisi.
Parlant de la situation de vie de la Guinéenne, notre étudiante de souligner qu’il y a des avancées mais beaucoup reste à faire. Notamment : la lutte contre les viols, les mariages forcés, les difficultés dans la pratique du sport, l’utilisation de certaines pour les travaux domestiques sans l’oublier l’abandon scolaire, …
Revenant sur ce que l’éducation peut apporter, notre étudiante de soutenir que : « L’éducation et la pratique du sport permettent à la fille d’avoir une assurance de soi, de se départir des préjugés, de sa propre vie, d’améliorer sa qualité de vie, comme on le dit un esprit sain sans un corps sain, de prendre conscience de ses droits et d’être en mesure de les défendre », a expliqué Oumou Djouldé Diallo.
Enfin, la sportive de présenter des doléances : « Je souhaite que dans les prochaines années que le 8 Mars soit une journée de sensibilisation et de mobilisation des élèves des écoles, collèges, lycées et universités pour les droits des femmes et l’égalité entre les filles et les garçons, comattre pour être présente dans tous les sports et s’affirmer. Dans nos familles et autres Groupements aussi , elle ne doit pas se voir comme un être inférieur , elle doit comprendre que le leadership se crée en soi, il faut l’imposer parfois », a-t-elle lancé.
Mouctar Kalan Diallo pour Billetdujour.com