« Depuis le 20 janvier 2023, on est en train de consentir beaucoup d’efforts pour la population, pour qu’il y ait suffisamment de denrées. C’est vrai qu’il y a une conjoncture dû à la rupture et au retard de livraison, en ce qui concerne de l’oignons. Les gens ont parlé qu’un sac de l’oignon à 600 mille, c’est qu’ils n’ont pas compris. La quantité d’oignons qui était au marché provenait de la République soeur du Mali. Ceux-ci mettent de l’oignons dans de sac de 50 à 60 kilogrammes, c’est pour cette raison que par endroit, il y avait de sac de 600 à 700 mille le sac. Mais pratiquement depuis la descente des agents assermentés, le prix d’un sac de l’oignons est revenu entre 320 à 330 mille. Ce qui est raisonnable », a déclaré la ministre du Commerce, de l’industrie, des petites et moyennes, Louopou Lamah.
Concernant les autres denrées, la cheffe du département du commerce a rassuré qu’il n’y a pas péril en la demeure. Pour elle, il y a un stock de 240 mille tonnes métriques du riz, pour une couverture de 5 mois. Le sucre 540 mille tonnes métriques pour une couverture de 4 mois. Le blé 83 mille tonnes métriques pour cinq mois de couverture. L’huile, 56 mille tonnes métriques soit une couverture de 6 mois, a-t-on appris. Et le poulet 6 mille tonnes métriques soit une couverture de 5 mois.