C’est le moins qu’on puisse dire ou écrire. Ce lundi 23 septembre 2024, la coordination nationale des Forces sociales de Guinée, (FSG) était devant les journalistes à la maison de la presse située à la périphérie du centre ville à la Minière/Dixinn.
Les sujets étaient axés notamment sur le retour à l’ordre constitutionnel.
À cet effet, le coordinateur national des FSG, Abdoul Sacko est revenu sur la sortie du chroniqueur du magazine: JeuneAfrique, François Soudan: « Nous avons entendu récemment le chroniqueur du magazine, JeuneAfrique sur Rfi, François Soudan, qui comparaît la Guinée en terme de performance économique avec les autres juntes. Nous le comprenons, c’est un marché pour lui. À l’en croire, contrairement aux juntes du Mali, du Burkina et du Niger , la Guinée se démarque. Mais il est passé à côté . Comment comparer la Guinée à des pays qui sont face à une situation de survie sécuritaire. Ces pays ont tous les trois des territoires morcelés par les terroristes. François Soudan applaudit la Guinée, malgré tout ce qu’on est en train de vivre. Mais quelle honte ! « , a lâché Abdoul Sacko.
Le coordinateur national de poursuivre: « Dans la même chronique, il (François Soudan, NDLR) a souligné en soutenant que les autorités guinéennes sont très intelligentes, qu’elles ont fait de parrainages tel que le président Paul Kagamé du Rwanda, qui les ouvre les portes de la diplomatie au niveau international pour mieux avoir des ressources. Bon Dieu ! Si c’est cette capacité d’entrée, ils ne devraient pas faire le coup d’État à l’ancien président. Paul Kagamé courrait derrière ce président ( Alpha Condé, NDLR), », a-t-il précisé.
« C’est dire que nous n’allons pas de l’avant, nous reculons…. Quand nous avons entendu tout cela, il va falloir que nous les Guinéens nous prenons nos responsabilités », a-t-il fait appel.
A-Tchol pour Billetdujour.com