Nous nous posons justement cette préoccupation. Qui du reste, est une turpitude qui n’a pas son deux. En général, et c’est vérifiable, l’on court souvent et toujours derrière la plus belle demoiselle du quartier. Plus besoin de rappeler, que le monde vit ou dépend du sous-sol du continent africain. 
Le paradoxe, est qu’après plus 50 voire 65 ans d’indépendance pour certains, l’Afrique à travers ses dirigeants au nombre de 54 continuent de se bousculer encore pour aller répondre à l’appel d’un seul chef de l’État hors du continent africain. Quelle turpitude!
Et tambours battant, leurs caisses à résonance, que sont des médias se sentent fiers d’annoncer les départs des dirigeants. De l’Afrique du Sud en Afrique du Nord en Algérie; de l’Afrique de l’Ouest au Sénégal, à la corne de l’Afrique à l’Erythrée, en passant par le Congo, ou au centre au Tchad, le protocole est le même.
À défaut que les 54 dirigeants des différents pays du continent n’y pensent pas. La société civile africaine doit s’approprier de cette préoccupation, afin de changer la donne. Pour que l’Afrique pense aussi à organiser des sommets notamment Afrique-Asie ou Afrique-Europe ou bien Afrique-Amerique sur son sol.
Toute chose qui amènera à mettre un terme à des rencontres comme: Sommet France-Afrique; Sommet Turquie-Afrique;
Sommet Chine-Afrique;
Sommet Russie-Afrique;
Sommet Japon-Afrique;
Sommet Corée du Sud-Afrique;
Sommet Italie-Afrique;
Sommet Qatar-Afrique…
Imaginez combien a coûté les décollages des 54 avions de commandements de ces différents chefs d’État africains dans le budget du contribuable africain, rien que pour aller répondre la convocation du dirigeant chinois.
A-Tchol pour Billetdujour.com