Après 7 jours d’expositions et de panels sur la culture et de l’artisanat au palais du peuple de Conakry, la première édition du Salon international de la culture, du tourisme et de l’artisanat ( SICTA) a été clôturée. La rencontre de ce samedi a été présidée par le président du Conseil national de la transition (CNT) , Dr Dansa Kourouma.
Ouvrant les discours , le Commissaire général du Salon, Abdou Kaboré a indiqué être très satisfait de l’engouement qu’a enregistré cette cérémonie.« Avec le SICTA, la Guinée est devenue une plate-forme du patrimoine culturel, artisanal et touristique de la sous région voire du monde. Nous sommes rassurés avec cette mobilisation, le SICTA est désormais inscrit dans le patrimoine national », a dit M.Kabouré.
Parlant des thèmes abordés, le commissaire général du SICTA a cité le rôle de la culture contre l’imitation clandestine, tourisme régulier de lutte contre l’imigation clandestine, tourisme et patrimoine historique, industrie culturelle et créative, tourisme-culturel, des expositions,….
Au nom du Ministère de la Culture, de l’Artisanat et du tourisme, le Secrétaire général dudit département, François Faya Bourouno a soutenu que le SICTA vise à faire la promotion de la culture, de l’artisanat et du tourisme.« C’est une approche novatrice de promotions de la culture, de l’artisanat et du tourisme qui permettra de créer un cadre approprié à leurs activités, vendre la destination Guinée, offrir les possibilité d’échnges entre les trois secteurs ( culture, artisanat et tourisme ).Nous croyons au projet SICTA, c’est pourquoi, nous pensons déjà à la 2e édition», a rassuré M. Bourouno.
Procédant à la clôture, le président du Conseil national de la transition , Dr Dansa Kourouma a remercié le Burkina Fasso, pays d’honneur pour son implication dans la reussite de cet événement.«On ne peut pas parler de développement sans culture. Vous savez la culture englobe les genres et la lettre, les modes de vie, les droits fondamentaux, les systèmes de valeurs , les traditions et les croyances. En bref le squelette d’un groupe social.Cette tradition est une opportunité pour changer les paradigmes pour le développement culturel de notre pays»
Mobaillo Diallo pour Billetdujour.com