Plusieurs pays africains sont devenus de véritables décharges d’e-déchets.
Avec la digitalisation et la consommation croissante de produits de téléphonie mobile, le nombre de techniciens qui réparent les smartphones et, et ensuite les revendent, a grandement augmenté.
Et si ce secteur d’activité informel grandit, il s’accompagne d’une hausse de la production de déchets électroniques : entre 2010 et 2022, les e-déchets ont ainsi enregistré une hausse de 30 % pour atteindre 10,5 millions de tonnes à l’échelle mondiale.
Une fois que les matériaux lucratifs comme le cuivre ou l’aluminium en sont extraits par des ferrailleurs, la plupart de ces déchets sont incinérés ou bien déversés dans la nature.
Ils libèrent des substances toxiques, qui polluent l’air et l’eau environnants et représentent un danger pour la santé.
Source: JA