Le président de la formation politique, l’UDRG: Union des démocrates pour la renaissance de la Guinée, Oury Bah a été l’invité d’une émission de grande écoute de la fréquence Fim fm. 
Le politique a été interrogé sur plusieurs sujets de la vie de la nation, notamment sur les réserves de certains hommes politiques par rapport à la transition.
Visiblement, l’ancien ministre dû croire ou se force de nier l’évidence.
Pour lui, les autorités doivent prendre leur responsabilité si ceux qui rejettent le cadre de dialogue n’y s’intéressent pas, parce que dit-il, ils n’ont pas de temps à perdre.
« Il faut hatter le pas et je pense que c’est une manière de montrer que toutes les dispositions sont réunies. Et je n’excluerait pas que vous pouvez être surpris que certains d’entre eux vont se retrouver autour d’un dialogue inclusif », précise-t-il.
Selon Bah Oury, il trouve absurde que dans le cadre d’une transition politique que des forces impliquées (partis politiques, ndlr) dans le cadre d’un processus d’une manière générale considèrent que les autorités de la transition sont contre elles: « Ils ( partis politiques) prennent ces autorités comme des adversaires qu’il faudrait mettre de côté. »
Sur la même lancée, il a défini qu’en réalité qu’une transition voudrait dire que les autorités de la place sont neutres et impartiales, vis à vis de l’ensemble des acteurs politiques qui pourraient être en lice pour les prochaines élections nationales. « Si vous d’emblée, vous considérez que ceux-ci sont contre vous, je me pose la question », s’est interrogé le leader URDG.
Pour beaucoup, des bavures extra-judiciaires dont les porteurs de treillis ont posé ces derniers temps n’encouragent pas certains.
Kantché pour Billetdujour.com