Notre rédaction a eu vent de cette information lors de la prise de parole que le chef de département du Travail et de la fonction publique, Julien Yombouno chez nos confrères d’Hadafo médias, le mercredi 25 octobre dernier. Ce dernier est ainsi revenu sur le toilettage du fichier de la fonction publique.
Interrogé sur un présumé agent qui aurait par devers lui plusieurs matricules en son compte.
Pour le ministre des investigations sont en cours: « Dans ce genre de dossiers, parfois, si vous allez vite en besoin sur certaines informations, vous risquez de perdre tous les membres du cartel. Certains membres peuvent prendre la poudre d’escampette. Il faut faire très attention. Et aussi, il y a l’honneur des gens. Il faut suivre la procédure, on ne peut pas citer des noms comme ça, pour offenser, encore qu’il faille vérifier si cette information est exacte… C’est tout un processus qui pourrait être couronné par un rapport final qui va être finalisé bientôt. Il faut des traitements, des croisement, il y a plusieurs travaux qu’il faut mener », a-t-il précisé.
À l’en croire, après ledit processus de biométrisation, les doublons et autre vont être décanter du fichier: « même quand vous réussissez à vous enrouler deux à trois fois, parce que vous êtes détenteur de deux ou trois matricules, le travail d’affinement qui a été fait après le 30 septembre 2021, nous a permis aussi d’étudier les matricules n’ont mérités. La règle voudrait, un agent, un matricule, un salaire. Donc il y a des mesures, on n’attend pas un ordre pour régulariser, parce qu’on ne peut pas accepter que quelqu’un que nous avons déceler qu’on le garde. On le stoppe tout de suite. Le maximum c’est 45 matricules pour une seule personne, nous travaillons encore là-dessus. C’est le record, mais encore une fois ça reste à vérifier », a fait remarquer Julien Yombouno.
Kataco Katom