Le nerf de la guerre? L’argent! Va-t-il être partager à bon escient? Pas évident dans un marigot trouble où de centaine de populations sous-marines, notamment des crocodiles se battent depuis bientôt 17 ans pour être pris en charge.
Cette sortie du ministère de la Justice et des droits de l’homme conviant le collectif des avocats des parties civiles à une rencontre de travail décisive, le 9 de ce mois-ci vient redonner une bouffée d’oxygène du moins aux survivants du massacre du stade du 28 septembre 2009.
Le gros hic, est que beaucoup d’observateurs se posent la préoccupation de savoir, si la gestion desdites ressources financières, se partageraient sans grabuge. Notamment entre le collectif des avocats qui ont pris part à la défense desdites victimes, lors du procès criminel des évènements du massacre du stade du 28 septembre 2009, au tribunal criminel de primaire instance de Dixinn. Mais également l’identification par les organisations de défense des droits humains, les victimes dudit évènement déplorable.
Lors de cette échange à la Chancellerie, que vont-ils tenir compte, visiblement trois catégories de victimes se distinguent déjà: victimes morts; victimes qui traînent de l’infirmités; et ceux qui ont été victimes mais qui, physiquement n’ont plus de bobo majeur.
L’autre question: l’indemnisation tiendra-t-elle à distribuer le montant à part égale à chaque victime ou va-t-elle tenir compte, que des infirmes aient la grosse enveloppe, puis, les familles des décédés et ensuite les survivants? Voilà des préoccupations qui taraudent déjà les esprits de certains observateurs.
Espérons que le département de la Justice et des droits de l’homme et les organisations de droits humains trouvent une solution de juste milieu, afin d’éviter ce qu’on a toujours déploré dans ce pays, après chaque gestion d’espèce sonnantes et trébuchantes.
A-Tchol pour Billetdujour.com