Qui pouvait y croire. La deuxième personnalité du régime déchu du Rassemblement du peuple de Guinée, Arc-en-ciel, Amadou Damaro Camara par-devant les cours et tribunaux.
Ce lundi 2 décembre 2024, le sort de l’ancien président de l’Assemblée nationale a été fixé à la Cour de répression des infractions économiques et financières (CRIEF).
La dernière fois, après les plaidoiries, ce jours-ci, le président de la CRIEF a condamné Amadou Damaro Camara à quatre ans d’emprisonnement ferme et du paiement d’une amende de 5 milliards de francs guinéens.
A-Tchol pour Billetdujour.com