Notre reporter a eu vent de cette information, lors d’un point de presse organisé ce mercredi 8 octobre dans un espace hôtelier de la place. Etablissements bancaires, microfinances, entreprises étatiques publiques et privées… situés à travers le pays sont concernés par cette opération d’inspection de contrôle.
« La campagne fait partie de notre mission quotidienne, mais sauf que cette fois-ci, on veut lui donner une ampleur. Et c’est à cause de cette ampleur-là qu’on a fait ce point de presse pour normaliser les rapports qu’on peut avoir avec les employeurs et aussi les informer à l’avance de ce qu’on compte faire.
L’approche, est que des inspecteurs vont se rendre dans les entreprises situées à travers le pays. Vu qu’on a une couverture nationale, on se rendra dans les entreprises pour mener les contrôles selon les points que nous avons exposés ici. Il y a 30 points, il y a le volet administratif mais également technique « , a expliqué l’Inspecteur général, Mohamed Ouattara.
Puis de rajouter que des questions sur la protection administrative, la santé technique, la santé du travailleur, de contrats de travail, des heures supplémentaires, de fiches de payement, seront passés en revue. « Donc tous ces détails sont déjà contenus dans le code du travail. Et c’est l’application de cette législation-là justement que nous surveillons… »
À la question de savoir que vise l’Inspection générale du travail à travers cette campagne: « D’abord on veut questionner le système, savoir ce qui se passe dans ce secteur-là, et aussi savoir dans quelle mesure nous pouvons apporter des corrections qu’il faut », a fait remarquer l’Inspecteur général du travail.
Il convient de rappeler que cette campagne vise non seulement les entités publiques et privées.
Richard TAMONÉ pour Billetdujour.com




































