Personne n’y croyait qu’on pouvait aussi tomber s’y bas, en matière de l’observance des principes de la bonne gouvernance. 
Les pratiques rétrogrades sont légions encore ces derniers temps. Ce qui a pris tout le monde de court. La prise de parole du maître des lieux, le 5 septembre 2021 sur le plateau de la Radiodiffusion télévision guinéenne située au centre directionnel était visiblement un leurre au regard de ce que des Guinéens sont en train de subir: brouillage des ondes des médias, mais aussi les restrictions des réseaux sociaux, la liberté publique.

Bon an mal an, le Syndicat des professionnels de la presse de Guinée, (SPPG) ne compte pas croisé les bras. Il lutte pour que les acquis de la liberté de la presse en Guinée ne soient pas compromis.
De ce fait, beaucoup estime que si la junte militaire à pu museler les autres entités (politiques) du pays. Pour eux, avec les Syndicats, notamment le SPPG, le locataire du palais Mohamed V et ses valets ne pourront soulignent-ils fléchir le Syndicat des hommes de médias. Parce que, ajoutent-ils. Plus le gouvernement de la transition emploiera des méthodes rétrogrades, qui a été combattu au temps des régimes précédents, plus l’effet boomerang serait encore violant sur les commanditaires.
Comme pour dire, il serait mieux que la junte militaire s’investit à rétablir le climat, surtout avec le SPPG, qui reste l’unique organisme fédérateur et légitime des acteurs de médias à travers le pays.
Vivement que la sagesse gagne les maîtres du moment pour le bien de tous.
Un journaliste en prison, ce, pour la bonne cause, c’est la démocratie qu’on assassine.
Sama pour Billetdujour.com