« Le 5 septembre 2021 et les jours suivant aucun centime n’avait été distribué pour que les populations guinéennes dans leurs quasi-totalité sortent dans les rues pour accueillir les éléments des Forces spéciales. Si deux ans après, ça peine à mobiliser, je crois qu’il y a cette situation aujourd’hui. C’est très aisé de tirer les conséquences. Aujourd’hui pendant que nous y sommes le colonel Mamadi Doumbouya dit aller représenter la Guinée, d’aller défendre ce qui est fait. Mais bon Dieu, bon sang qu’est-ce qui est fait? Où est la Constitution de notre pays deux ans après? Où est le projet du code électoral? Où est l’organe de gestion des élections? Où est le fichier électoral? Quant-on met cela en relief avec la mission régalienne d’un gouvernement de la transition. Même si entre autres, il y a des petites actions de colmatage qui sont en train de mener, salutaire pour les populations. Mais leur mission régalienne c’est quand même les actions en relation avec le retour à l’ordre constitutionnel », a déclaré le coordinateur des Fédérations de l’UFDG de l’intérieur du pays.
