Pour rappel, le décret de dissolution du président de la transition, le colonel Mamadi Doumbouya a été lu dans les médias d’Etat du pays, ce week-end. Cette dissolution des élus locaux ont été accompagnée, ce lundi par la décision  de poursuites du chef de département de la justice et des droits de l’homme, Alphonse Charles Wright.
Voici les communes rurales de développement, concernées:

1. La commune rurale de Kignébakoro, préfecture de Siguiri;

2. La commune urbaine de Mamou, préfecture de Mamou;

3. La commune rurale de Oure-kaba, préfecture de Mamou;

4. La commune rurale de konkouré, préfecture de Mamou;

5. La commune rurale de Mankountan, préfecture de Boffa;

6. La commune rurale de Tanènè, préfecture de Dubréka;

7. La commune rurale de Tormèlin, préfecture de Fria;

8. La commune rurale de Kolaboui, préfecture de Boké;

9. La commune rurale de Tanènè, préfecture de Boké.

Le garde des sceaux, s’appuyant sur l’article 37 du Code de procédure pénale, intime aux procureurs d’engager ou de faire engager les poursuites judiciaires ou de saisir la juridiction compétente de telles réquisitions écrites qu’ils jugent opportunes dans le cadre de la mise en œuvre de la politique pénale de l’institution.

Dassassa pour Billetdujour.com