C’est nos confrères du Jeune Afrique qui a révélé cette information. Selon cette rédaction d’analyses et d’informations, le chef de la junte, le colonel Mamadi Doumbouya serait visé par une plainte de : « complicité d’homicides et de torture », près de la juridiction française, elle remonte, le jeudi 8 septembre 2022 dernier. 
A en croire, nos sources, les activistes du Front national pour la défense de la Constitution, FNDC l’ont fait au regard des violences qu’a connu certaines localités de la capitale Conakry lors des manifestations du FNDC. Dont le bilan  dénombre aujourd’hui de plus de 9 victimes dans un intervalle de 90 jours.
Dans les colonnes du magazine Jeune Afrique, il est écrit ceci contre la junte qui dirige la Guinée présentement: « il est reproché aux forces de défense et de sécurité sous le commandement du chef de la junte d’avoir délibérément usé d’une violence disproportionnée et injustifiée lors des manifestations contre des jeunes gens, toute chose qui aurait entraîné de nombreux blessés et de victimes ».
Et comme principal personne visée, le chef suprême des armées guinéennes. Ce dernier, au regard de son statut donnerait des ordres aux militaires qui sont sous ses commandements. Et donc, dans ce cas, fait remarquer de passage JA, le tombeur d’Alpha Condé pourrait être complice des meurtres commis sur des jeunes manifestants en Guinée.
Smkal pour Billetdujour.com