Il n’est pas exagéré d’écrire, que la drogue ‘’kush’’ est devenue un fléau au sein de la couche juvénile. Une problématique qui doit vivement interpeler les autorités de la place.
A en croire, le secrétaire général des services spéciaux de la lutte contre la drogue et du crime organisé, Abdoul Malick Koné : « il n’y a pas qu’une variété de kush, il y en a plusieurs », a précisé l’officier de la police guinéenne.
Avant d’expliquer que les jeunes consommateurs sont à la recherche de nouvelles sensations. « Ils se ravitaillent partout où ils peuvent trouver, et ce n’est pas la quantité qui est important, plutôt la qualité : une petite dose peut vous causer de l’overdose, et vous être très fatale », a d’office laissé entendre le Contrôleur général, Abdoul Malick Koné, chez nos confrères d’Hadafo médias.
Lesdites substances proviendraient de la Sierra Léone par le biais notamment des pirogues de fortune. Et les principaux débarcadères de la capitale ont été déjà investis par les agents des services de la lutte contre la drogue et du crime organisé : « Nous avons déjà mis
l’accent au niveau du débarcadère de Boussoura, dans la commune de Matam, à Dixinn port II, à Coléah, port de Chicago. Je peux vous assurer qu’au niveau de ces ports, nos services ont investi les lieux », a-t-il déclaré.
l’accent au niveau du débarcadère de Boussoura, dans la commune de Matam, à Dixinn port II, à Coléah, port de Chicago. Je peux vous assurer qu’au niveau de ces ports, nos services ont investi les lieux », a-t-il déclaré.
Abdoul Malick Koné de conclure en faisant remarquer que son institution a besoin d’un appui institutionnel, afin de pouvoir mener une lutte sans merci. « On a besoin de former nos cadres afin de mieux connaître la drogue, c’est un mélange de policiers, gendarmes, douaniers, militaires, parce que tout le monde n’a pas la même lecture. »
Kugbana pour Billetdujour.com