C’est au terme de 90 jours d’observation, de supervision et d’évaluation des partis politiques, le département de l’Administration du territoire et de la décentralisation, à travers sa direction des Affaires politiques et de l’administration électorale, a procédé à la restitution des résultats desdites opérations. Un espace hôtelier de la place a servi de cadre, ce vendredi 14 mars 2025 à cet effet. 
Selon le rapport sur 211 partis politiques répertoriés en 2024, 53 ont été dissous, et 158 autres ont fait l’objet d’une nouvelle évaluation en 2025. Au finish, 75 partis sont autorisés à poursuivre normalement leurs activités sur le terrain. Pour ce faire, de satisfecits ont été décernés par le ministère de l’Administration du territoire et de la décentralisation aux formations qui ont pu rendre les conditions éditées. L’Alliance pour le renouveau et le progrès (ARP) a été l’un des partis qui ont respecté lesdits critères.
« C’est un grand ouf de soulagement, c’est le moment pour moi de féliciter les autorités administratif de ce pays, notamment le ministère de l’Administration du territoire et de la décentralisation qui est la tutelle administrative des partis. Je pense qu’il y a quelque de très important qui vient de se passer, un travail sérieux a été fait. Force est de reconnaître que le travail sérieux qui a caractérisé le processus a payé. Le mérite aussi va à l’endroit des cadres du parti, qui ont travaillé d’arrache pied pour que nous puissions répondre aux exigences légales, éditées par les autorités de notre pays », à souligné le président de l’ARP, Mohamed Nabé.
Puis de poursuivre que les partis politiques qui ont reçu les certificats d’aptitude sont autorisés à exercer à partir de maintenant. « Je pense que nous allons prendre les taureaux par les cornes et partir à l’assaut des joutes électorales comme la promis le président l’année 2025 est une année électorale. Nous allons faire tout pour que nous puissions être prêts pour affronter les échéances électorales. »
Cela voudrait dire que vous serez candidat? À-t-il été interrogé: « Je ne peux pas dire, si je serai candidat ou pas, cela dépendra du congrès extraordinaire qui sera organisé très bientôt. Quand les échéances électorales seront définies par les autorités compétentes du pays. Nous allons définir à notre tour, est-ce que nous devrions partir aux élections ou bien. Est-ce que moi en tant personne, je serai candidat pour la présidentielle avenir », a précisé le leader de L’ARP, Mohamed Nabé.
Richard TAMONÉ pour Billetdujour.com