Aux dires des observateurs, les sorties surtout devant les objectifs des caméras des acteurs des médias ne sont qu’une façade qui cache la réalité du business qui alimentent leurs portefeuilles. C’est le moins qu’on puisse dire ou écrire. 
Ces derniers, contrairement à la transition du Comité national le développement et la démocratie, CNND, à laquelle le chef de la junte avait presque centré les trois pouvoirs: exécutif-judiciaires-législatif en son sein.
L’on se rappel, cet état de fait avait visiblement amené les avocats du Barreau de Guinée à battre le pavé, ceci  afin de pouvoir abréger la période de vache maigres occasionnée par le capitaine, Moussa Dadis Camara et ses lieutenants.
Cette troisième transition que connaît le pays depuis le 5 septembre 2021, s’il y a une corporation professionnelle qui en bénéficie, c’est à coup sûr les porteurs de la blouse noire, voire même les autres corps de l’appareil judiciaire et les auxiliaires de justice. Ces derniers, sont dans une période de moisson abondante qui ne dit pas son nom. Ils se frottent loin s’en faut, les mains, au regard des dossiers, qui, au jour le jour sont rendu publics soit par le parquet général près de la cour d’appel de Conakry ou par le chef de département en charge de la justice et des droits de l’homme du gouvernement de la transition actuelle.
A l’image de la liste composée de 188 personnes que le Garde des sceaux, Alphonse Charles Wright vient de faire connaître du grand public.
Ci-dessous la liste desdites personnes.