L’Afrique voit s’intensifier les investissements en provenance des Émirats arabes unis : logistique, énergie, mines… les secteurs ciblés sont nombreux, les montants significatifs. Mais derrière cette manne, se posent des questions qui dépassent le simple calcul financier.
Les Émirats, après avoir consolidé leur puissance régionale, cherchent à diversifier leurs investissements tout en renforçant leur influence à l’échelle mondiale. Accès aux ressources, positions stratégiques, visibilité diplomatique : tous les ingrédients d’un soft power en marche.
Cependant, le modèle soulève aussi des inquiétudes : les populations locales parfois peu consultées, des normes environnementales ou sociales jugées insuffisantes, et la crainte que les accords profitent davantage aux investisseurs qu’aux États africains.
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