Ladite marche du Collectif du personnel impliqué dans la riposte à la Covid-19 est annulée. L’annonce a été faite lors d’un point de presse tenue à la maison commune des journalistes à Kipé/Ratoma. Le refus de la mairie de la commune de Kaloum serait à l’origine de l’annulation de cette manifestation des médecins, infirmiers, hygiénistes impliqués dans la lutte contre la pandémie qui sévit à travers le monde.
Pour rappel, cette marche devait prendre le départ le samedi prochain au niveau du carrefour du port autonome et finir à la primature. Une manière pour eux, de rappeler aux responsables du pays qu’ils ne sont toujours pas été en possession de leurs primes trois mois de prestation assurée : juillet, août et septembre.
Malheureusement, la lettre réponse qu’ils ont reçue de la mairie qui abrite le palais Sékhoutouréya n’a pas daigné autoriser leur marche blanche. A en croire, les médecins, les élus de la collectivité de
Kaloum ont exploité la campagne électorale, pour interdire leur marche.
« Il s’agissait d’interpeller le Premier ministre, Chef du gouvernement, par rapport à ce qu’il a dit, que nous n’avons pas oublié. Peut-être, il pense que c’est déjà fait. Nous avons souhaité, le rappeler par rapport à ces primes exceptionnelles », a déclaré le porte-parole du Collectif du personnel impliqué dans contre la pandémie de Covid-19, Alpha Kabinè Kéïta.
Puis de préciser que beaucoup d’entre eux ne sont pas fonctionnaires de l’Etat. «C’est pour signifier que nous réclamons les primes exceptionnelles qui ont été édictées par le chef du gouvernement ».
Selon lui, avant de sortir dans les médias, ils ont entrepris plusieurs démarches mais jusque-là aucune suite favorable. « Depuis trois mois, les personnels impliqués dans cette riposte en Guinée ne sont pas encore rentrés en possession de leurs primes exceptionnelles », a-t-il insisté.
Il rassure tout même, qu’ils continueront à accomplir le travail au niveau de centres de traitements. « Nous nous engageons à continuer ce travail.»
De son côté, le Coordinateur dudit Collectif, Kaba Kéïta de faire remarquer que ce sont tous les agents des différents centres de traitements de la capitale tout comme de l’intérieur, qui sont concernés par cette réclamation. « Nous représentons tout le Collectif, ceux qui sont en activité ou pas, parce que le personnel a été compressé de 60% », a-t-il fait savoir.
Pour rappel, cette marche devait prendre le départ le samedi prochain au niveau du carrefour du port autonome et finir à la primature. Une manière pour eux, de rappeler aux responsables du pays qu’ils ne sont toujours pas été en possession de leurs primes trois mois de prestation assurée : juillet, août et septembre.
Malheureusement, la lettre réponse qu’ils ont reçue de la mairie qui abrite le palais Sékhoutouréya n’a pas daigné autoriser leur marche blanche. A en croire, les médecins, les élus de la collectivité de
Kaloum ont exploité la campagne électorale, pour interdire leur marche.
« Il s’agissait d’interpeller le Premier ministre, Chef du gouvernement, par rapport à ce qu’il a dit, que nous n’avons pas oublié. Peut-être, il pense que c’est déjà fait. Nous avons souhaité, le rappeler par rapport à ces primes exceptionnelles », a déclaré le porte-parole du Collectif du personnel impliqué dans contre la pandémie de Covid-19, Alpha Kabinè Kéïta.
Puis de préciser que beaucoup d’entre eux ne sont pas fonctionnaires de l’Etat. «C’est pour signifier que nous réclamons les primes exceptionnelles qui ont été édictées par le chef du gouvernement ».
Selon lui, avant de sortir dans les médias, ils ont entrepris plusieurs démarches mais jusque-là aucune suite favorable. « Depuis trois mois, les personnels impliqués dans cette riposte en Guinée ne sont pas encore rentrés en possession de leurs primes exceptionnelles », a-t-il insisté.
Il rassure tout même, qu’ils continueront à accomplir le travail au niveau de centres de traitements. « Nous nous engageons à continuer ce travail.»
De son côté, le Coordinateur dudit Collectif, Kaba Kéïta de faire remarquer que ce sont tous les agents des différents centres de traitements de la capitale tout comme de l’intérieur, qui sont concernés par cette réclamation. « Nous représentons tout le Collectif, ceux qui sont en activité ou pas, parce que le personnel a été compressé de 60% », a-t-il fait savoir.
Gilbert Tôgnôn pour Billetdujour.com