Dans l’univers du football guinéen, un homme se démarque par sa passion inébranlable et son engagement sans faille envers le développement du sport national. Cette personne s’appelle KPC. Malgré les écueils rencontrés ce samedi lors de l’Assemblée d’adoption des statuts de la Fédération Guinéenne de Football (FGF), ce sponsor majeur du championnat national et des équipes nationales reste résolu à soutenir son pays et le football guinéen.
Lors de cette Assemblée cruciale pour l’avenir du football en Guinée, le secrétariat général CONOR a commis une faute administrative en ne fournissant pas le badge d’accès à KPC. Cette négligence l’a empêché d’assister à l’événement malgré les échanges préalables avec le secrétaire général. Cette situation soulève des questions sur la gestion de l’organisation et le traitement des acteurs clés du football guinéen.
Pourtant, loin de se laisser décourager par cette entrave, KPC démontre une détermination inébranlable envers son pays et sa passion pour le football. Sa contribution au développement du sport national ne se mesure pas seulement en termes financiers, mais aussi en termes de volonté et de dévouement. Alors que des individus controversés étaient présents dans la salle de l’Assemblée, KPC, en tant qu’acteur clé et sponsor majeur, méritait amplement sa place pour apporter sa vision et son soutien.
Cet épisode soulève des interrogations quant à la transparence et à l’équité dans la gestion du football guinéen. Comment se fait-il que des perturbateurs aient accès à la salle tandis qu’un acteur engagé comme KPC se voit refuser cette opportunité ? La nécessité d’une gouvernance solide et responsable dans le secteur du football est plus que jamais évidente.
Il est essentiel que les responsables du CONOR et de la FGF veillent à une gestion équitable et transparente, garantissant que des acteurs clés tels que KPC puissent pleinement contribuer au développement et à l’essor du football en Guinée. Le football guinéen a besoin de tels passionnés pour prospérer et briller sur la scène internationale.
Hamzah Bah, journaliste Reporter