Chers lecteurs, vous allez, vous en rendre compte, rien qu’en touchant seulement un seul secteur du quotidien du citoyen de Conakry qu’est le secteur de circulation routière. Là, différents acteurs disons des usagers qui exploitent les différentes chaussées de la capitale guinéenne mettent en danger les usagers et passagers ou bien passants. Le moins qu’on puisse dire ou écrire, c’est qu’il n’est pas aisé de circulation dans la ville de Conakry. 
À l’image des villes du monde, ils sont nombreux ceux qui trouvent le gagne-pain en exploitant les artères de la ville. Le seul problème est que très peu observé le code de circulation routinière.
Par exemple, les conducteurs de deux, bien qu’ils soient pas seuls dans ce secteur. Ces derniers sont envahissants, les conducteurs d’engins de deux rous. Aucune observation d’une quelconque discipline. Ils stationnent, doublent et clasonnent comme ils entendent.
Ils sont un problème dans le problème pour des autorités pour sécurité routière, voire du pays. Le gros hic à ce jour, c’est que visiblement les gouvernants n’ont et n’envisagent aucune réflexions à propos, afin de pouvoir réglementer ou du moins canaliser ces conducteurs de deux rous.
Pis, ces dix dernières années, les conducteurs de tricycles se sont engouffrés dans la brèche. Ce qui du coup a fait la capitale guinéenne, le royaume de capharnaüm.
Et comme chez nous en Guinée, les problèmes se règlent entre eux et vont perdurer sans qu’il ne trouve solution.
Disons clairement circuler dans la ville de Conakry est un danger mais permanent. Que vous soyez sur ou dans votre engin vous ne serez à l’abris du danger de la circulation routinière que vous mettez pied dans votre concession.
Partout des usagers exploitent les chaussées comme ils entendent, pas de règles basiques du code de route. Officiel ou particulier peuvent prendre le sens contraire comme bon le semble, au préjudice des autres usagers ou passagers.
Questions: à quand nos dirigeants vont-ils se mettre à table et mener des réflexions, afin de prendre des mesures de sécurisation du Guinéen lambda, parce que c’est lui qui paie le plus lourd tribut?
Cet état de fait, a récemment classé la capitale de Guinée parmi les 10 villes en Afrique où, les citoyens sont exposés au danger à tout moment.
Tamboupret pour Billetdujour.com