C’est le moins qu’on puisse dire ou écrire. Ces deux acteurs politiques, à l’image de d’autres d’ailleurs, ils tentent à chaque fois que l’occasion se présente en eux pour tenter de faire la cour aux maîtres du moment. Pour beaucoup, c’est une manière pour eux, de séduire le CNRD afin que, comme ça se passe toujours dans d’autres cieux en Afrique, d’être copté par le locataire du palais Mohamed V de Boulbinet à l’occasion de la présidentielle.

Ce samedi 9 décembre 2023, notre rédaction a envoyé des reporters dans certains état-majors des partis politiques de la place.

Au niveau de l’ancien parti au pouvoir, le RPG-AEC, c’est l’intervention de l’ancien ministre Marc Yombouno qui a attiré l’attention de notre reporter. Ce dernier est revenu sur la situation que le paysage médiatique guinéen traverse en ce moment: « Un droit, c’est un acquis, une fois que vous l’avez, on ne doit pas vous le retirer. Ils (journalistes, ndlr) ne demandent rien d’autres. Combien de personnes travaillent dans ces médias, combien de familles vivent aujourd’hui à travers ces médias…. », a fait remarquer le cadre du RPG-AEC, Marc Yombouno.

En revanche, et une façon qui dépasse l’entendement, deux autres acteurs n’ont des moindres étonnent plus d’un.

« …Moi je pense qu’on devrait laisser ces jeunes-là tranquillement mener la transition, parce que ça se passe bien », a déclaré à son tour Ousmane Kaba du Parti des démocrates pour l’espoir, (PADES).

De son côté, le leader du Parti de l’espoir et le développement national, (PEDN), Lansana Kouyaté: « … Est-ce il est possible humainement de conduire une transition sans erreurs », a vertement laissé entendre l’ancien premier ministre de consensus du régime de Lansana Conté.

Il a plus loin répondu la question dont-il a lui-même posée: « il y en a eu. »

Sônta pour Billetdujour.com