Ce n’est pas une première, le gouvernement de l’oncle Sam et son voisin canadien procède chaque année a attiré l’attention de leurs ressortissants sur la destination qu’ils trouvent sûr ou pas. Ces dernières heures, ces deux gouvernements ont jeté un regard également sur le monde, pour le faire, tous les deux, s’appuient sur une échelle pour faire la notation sur l’insécurité qui sévit dans certaines parties du monde. Ainsi les radars du département d’État américain n’a pas occulté la Guinée.
Dans son communiqué a mis en relief notamment la hausse des coûts de transport, ce qui du coup a réduit l’accès aux produits de base et aux services de santé et a contribué à un risque accru de criminalité, a-t-on lu.
Toujours le communiqué en parlant des manifestations, il a indiqué que des manifestations sont souvent sporadiques et imprévisibles, se déroulent fréquemment dans tout le pays, rendant difficile la prévision de leur ampleur et de leur niveau de violence.
C’est pour cette raison que les autorités américaines mettent en garde contre les risques encourus lors de manifestations, pouvant entraîner des blessures graves voire des décès. « Les criminels profitent des embouteillages pour voler conducteurs, passagers et piétons, tandis que les forces de sécurité en uniforme peuvent également se livrer à des extorsions… les voyageurs américains sont vivement encouragés à reconsidérer leur voyage en Guinée et à faire preuve d’une prudence accrue, tenant compte des multiples défis sécuritaires et sanitaires actuels », ont noté les lieutenants du président des États-Unis d’Amérique, Joe Biden.
Le gouvernement de la transition guinéen va-t-il réagir à ce communiqué à travers son ministère des Affaires étrangères, attendons de voir la suite.
Kônûmôrô pour Billetdujour.com