Le compte à rebours qui avait été lancé par les autorités sanitaires du pays depuis le test négatif du dernier d’Ebola vient de dépasser la barre de 42 jours, c’est à dire deux fois 21 jours.
Contrairement au précédent épidémie très meurtrière de 2014 à 2016, avec bilan de 11 000 morts. Celle de cette année, les spécialistes de la santé l’ont pu la contenir en mois de 4 mois. 23 cas de morts a été tout de même enregistrés.
Pour le ministre Rémy Lamah, la résurgence de ce virus d’Ebola a été contenue grâce à  la proactivité d’une équipe multidisciplinaire d’experts guinéens qui étaient déjà formés lors de la première épidémie d’Ebola.
Selon toujours, le médecin Lamah l’apport des médicaments dans la prise en charge a permis de couper la chaîne de transmission. « Les personnels soignant contrairement à la première épidémie n’a pas été touché, en dehors du cas indexe », précise-t-il.
La disponibilité des centres de traitement des épidémies dotés de plateau technique et des laboratoires construits à travers le pays a également pesé dans la lutte.
K’warpone pour Billetdujour.com