Cela passe inaperçu sûrement par méconnaissance dans la population. Contrairement, chez les décideurs pour ne dire, les responsables de l’administration publique. Comme pour dire: « lorsque l’État est fort, il protège ses citoyens. En revanche, s’il est faible, ses citoyens périssent. »
Visiblement, cette image colle bien à la préoccupation évoquée par notre éditorialiste. Le soda, en français facile: boisson généralement gazeuse et sucrée, composée d’eau, de sucre ou d’édulcorant, et de différents types d’extrait de plantes, reste en dépit qu’il soit bien prisé par la majorité de la population très nuisible sur la santé de l’être humain, d’après les spécialistes de santé de primaire. Selon ces derniers, la consommation du soda serait la cause de certaines pathologies chroniques.
Pis, c’est que ce sont les bras valides qui sont en première ligne. Le soda, tout comme le thé, connu sous le sobriquet « Attaya », est rentré dans les habitudes des jeunes gens. Ils en raffolent à souhait, au préjudice dit-on, de leur organisme. Certains, après une journée de dur labeur, la seule chose qu’ils préfèrent en tout premier lieu, c’est de se gorger d’abord d’une canette de boisson gazeuse, sucrée. Histoire pour eux de se redonner du tonus.
Leurs prix varient d’une canette à l’autre, entre 10 000 à 5000 francs guinéens. Avec de taux de sucre et autres ingrédients cités, hors normes. Des sobriquets estampillés, on ne peut mieux, sur lesdits bidons.
Le gros hic, c’est que de la capitale jusque dans le dernier village difficile d’accès qu’il soit dans l’arrière pays, lesdits sodas font partis les menus. Conséquences, des maladies qu’on ne rencontraient que dans les centres urbains, sont légions aujourd’hui dans les localités reculées.
Hier, par exemple, jeudi 14 novembre 2024, l’humanité a célébré la Journée mondiale de la lutte contre le diabète, une pathologie qui sévit à travers le monde avec un chiffre qui fait froid au dos, plus de 800 millions de malades.
Cette situation doit interpeller non seulement les décideurs mais aussi et tout est chacun, puisque la santé doit-être la préoccupation de tous.
A-Tchol pour Billetdujour.com